Par
Laure (maman de Robin, Jullian et Evan, assistante sociale)
Voici mes impressions en ce qui concerne "La leçon de Professeur Hibou" (1). Cette leçon a changé notre manière d’être à tous. Pour Jullian et Robin, c’est facile d’écouter leur cœur. Ils se mettent au calme et retrouvent le chemin. Cela les a aussi beaucoup aidés face aux adversités de la vie. Ils ont confiance en eux, en leur propre jugement. Ils savent ce dont ils ont besoin. Pour moi, c’est adopter un positionnement différent : c’est les responsabiliser, leur faire confiance dans leur prise de conscience. J’essaie de les guider afin qu’ils intériorisent ce qui est juste pour eux. Pour Evan, c’est plus difficile. Quand son énergie et ses émotions le débordent, il refuse de se calmer et d’écouter son cœur, il se bouche les oreilles et dit « je ne veux pas ». Mais après la crise, on en reparle plus tard : il dit « mon cœur dit c’est bien ou c’est mal ». Je pense qu’il a du mal à écouter pour savoir ce qui est bon pour lui. Je constate qu’avec Jullian et Robin, nous ne sommes plus dans des conflits d’ « obéissance », nous parlons ; avec Evan, c’est encore difficile. La leçon de Professeur Hibou nous accompagne, mais cela exige du temps, de la disponibilité et du calme intérieur.
(1) "La leçon de Professeur Hibou" - les ateliers de la plume EDITIONS
Voici mes impressions en ce qui concerne "La leçon de Professeur Hibou" (1). Cette leçon a changé notre manière d’être à tous. Pour Jullian et Robin, c’est facile d’écouter leur cœur. Ils se mettent au calme et retrouvent le chemin. Cela les a aussi beaucoup aidés face aux adversités de la vie. Ils ont confiance en eux, en leur propre jugement. Ils savent ce dont ils ont besoin. Pour moi, c’est adopter un positionnement différent : c’est les responsabiliser, leur faire confiance dans leur prise de conscience. J’essaie de les guider afin qu’ils intériorisent ce qui est juste pour eux. Pour Evan, c’est plus difficile. Quand son énergie et ses émotions le débordent, il refuse de se calmer et d’écouter son cœur, il se bouche les oreilles et dit « je ne veux pas ». Mais après la crise, on en reparle plus tard : il dit « mon cœur dit c’est bien ou c’est mal ». Je pense qu’il a du mal à écouter pour savoir ce qui est bon pour lui. Je constate qu’avec Jullian et Robin, nous ne sommes plus dans des conflits d’ « obéissance », nous parlons ; avec Evan, c’est encore difficile. La leçon de Professeur Hibou nous accompagne, mais cela exige du temps, de la disponibilité et du calme intérieur.
(1) "La leçon de Professeur Hibou" - les ateliers de la plume EDITIONS