Dès le plus jeune âge, le contact avec la faune et la flore est nécessaire à notre développement. Lorsqu’il se réduit, devenant soit trop rare, soit trop pauvre, des effets négatifs apparaissent, comme l’obésité ou l’anxiété.
Par
Alix Cosquer
Quand se conjuguent beaux jours et temps libre, nombre de parents rêvent de voir leurs enfants jouer en plein air. À une époque où les modes de vie s’urbanisent à la vitesse grand V, avec pour corollaire une diminution du temps passé en extérieur, ils estiment que ce retour au vert est profitable. Et ils sont loin d’avoir tort.
En tant qu’espèce humaine, notre évolution est liée au monde naturel. Dès le plus jeune âge, le contact avec la faune et la flore est nécessaire à notre développement. Lorsqu’il se réduit, devenant soit trop rare, soit trop pauvre, des effets négatifs apparaissent, comme l’obésité ou l’anxiété. Ce sont ces "troubles associés au manque de nature" que soulignait dès 2008 l’auteur Richard Louv dans son best-seller intitulé Last Child in the Woods.
Une source de bien-être
À l’inverse, une grande variété d’interactions avec la nature produit des bénéfices importants et qui ont tendance à se cumuler, notamment sur le plan de la santé. Outre une augmentation de l’activité physique, qui fait baisser les risques d’obésité ou de myopie chez les enfants, l’accès régulier à des parcs et espaces verts apporte également un bien-être psychique, en aidant par exemple à lutter contre le stress [...]
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Quand se conjuguent beaux jours et temps libre, nombre de parents rêvent de voir leurs enfants jouer en plein air. À une époque où les modes de vie s’urbanisent à la vitesse grand V, avec pour corollaire une diminution du temps passé en extérieur, ils estiment que ce retour au vert est profitable. Et ils sont loin d’avoir tort.
En tant qu’espèce humaine, notre évolution est liée au monde naturel. Dès le plus jeune âge, le contact avec la faune et la flore est nécessaire à notre développement. Lorsqu’il se réduit, devenant soit trop rare, soit trop pauvre, des effets négatifs apparaissent, comme l’obésité ou l’anxiété. Ce sont ces "troubles associés au manque de nature" que soulignait dès 2008 l’auteur Richard Louv dans son best-seller intitulé Last Child in the Woods.
Une source de bien-être
À l’inverse, une grande variété d’interactions avec la nature produit des bénéfices importants et qui ont tendance à se cumuler, notamment sur le plan de la santé. Outre une augmentation de l’activité physique, qui fait baisser les risques d’obésité ou de myopie chez les enfants, l’accès régulier à des parcs et espaces verts apporte également un bien-être psychique, en aidant par exemple à lutter contre le stress [...]
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