À l'ère des luttes contre les discriminations sexistes, Jean-Michel Blanquer déclare interdite l'utilisation de l'écriture inclusive à l'école, notamment le point médian qui est utilisé pour faire apparaître les formes féminine et masculine d'un mot.
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VERS LE HAUT (Think Tank dédié aux jeunes et à l’éducation)
"Cette écriture, qui se traduit par la fragmentation des mots et des accords, constitue un obstacle à la lecture et à la compréhension de l'écrit. L'impossibilité de transcrire à l'oral les textes recourant à ce type de graphie gêne la lecture à voix haute, comme la prononciation et, par conséquent, les apprentissages, notamment des plus jeunes. Enfin, contrairement à ce que pourrait suggérer l'adjectif « inclusive », une telle écriture constitue un obstacle pour l'accès à la langue d'enfants confrontés à certains handicaps ou troubles des apprentissages."
Jean-Michel Blanquer, dans ce bulletin officiel n°18 du 6 mai 2021, invite donc tous les enseignants à veiller à ce que ces règles grammaticales soient respectées pour garantir une bonne transmission de la langue française.
>> Lire le bulletin officiel
"Cette écriture, qui se traduit par la fragmentation des mots et des accords, constitue un obstacle à la lecture et à la compréhension de l'écrit. L'impossibilité de transcrire à l'oral les textes recourant à ce type de graphie gêne la lecture à voix haute, comme la prononciation et, par conséquent, les apprentissages, notamment des plus jeunes. Enfin, contrairement à ce que pourrait suggérer l'adjectif « inclusive », une telle écriture constitue un obstacle pour l'accès à la langue d'enfants confrontés à certains handicaps ou troubles des apprentissages."
Jean-Michel Blanquer, dans ce bulletin officiel n°18 du 6 mai 2021, invite donc tous les enseignants à veiller à ce que ces règles grammaticales soient respectées pour garantir une bonne transmission de la langue française.
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